Quand je photographiais le pot de feuilles rouges, ça a fait sourire une passante japonaise.
Une expo Van Gogh et le Japon au Musée d’Art Moderne m’a fait un peu le même effet que l’expo Gauguin à Bâle : un choc. Un choc de se rendre compte de la vacuité insipide d’une reproduction quand on la compare à l’original.
Je note ces tableaux que j’ai beaucoup apprécié et sur lesquels il faudra que je revienne — en les regardant dans un livre, ou sur écran, certes.
Vincent Van Gogh
— Rue à Sainte-Marie-de-la-Mer (1888)
— Laurier-rose (on y voit un livre d’Émile Zola : La joie de vivre)
— Les Peiroulets
Et un tableau de Soboku Suita, un artiste japonais au style… à l’opposé de celui de Van Gogh :
— Garden of Daigoji temple