Qu’est-ce qui sépare l’IA de l’humain ?
La performance est mécanique, elle se mesure. Mais on est, c’est vrai, un peu au-delà de ça. L’IA peut fournir des performances non mesurables.
L’œuvre est sensible, elle se ressent. L’IA n’y entrave que dalle, mais elle fait office de crayon de luxe pour qui ne sait pas dessiner. Elle ne ressent elle-même aucun besoin de dessiner.
Si on lui donne de l’Ayahuasca, l’IA n’aura pas de vision, ne communiquera pas avec les entités d’autres dimensions.
L’IA est pour nous un gadget aussi épatant que les avions et les téléphones pourraient l’être pour des Cro-Magnons, mais ça ne change rien au mystère de l’existence.
On s’est habitués aux avions, aux ordinateurs, etc. et l’IA va peut-être changer notre monde dans des proportions encore plus gigantesques…
Nous, les êtres humains, on aime bien les gadgets.