Au dos de ce flyer est annoncé un vernissage de l’expo Vladivostok au Café Bretelles ce dimanche 11 novembre 2018. Autant le dire tout de suite, je n’aurai pas reçu les impressions. Ou alors je n’aurai qu’une partie des cadres. Ou bien je n’aurai pas eu le temps de préparer les cadres. Bref, ce qui se passera dimanche, ce sera vraisemblablement du vent et des moulinets… un peu à l’image des agitations des gens-que-vous-savez. Afin de parachever la réussite de ce vernissage qui n’est pas pour les losers, sachez qu’il n’y aura ni vin blanc ni bretzels, ni… il n’y aura rien en fait.
Maintenant que l’essentiel est clarifié, passons au superflu :
J’ai passé un mois dans ce port du bord du monde, en mai 2018, pendant lequel je me suis promené sans but autre que de prendre des photos. Distrayantes, dans le meilleur des cas, banales, sinon.
Vladivostok est une sélection de photographies tirées de mon Journal photographique n° 2 et imprimées au format 20 cm x 30 cm. Le carnet imprimé sera également consultable au Café Bretelles jusqu’à la fin de l’expo.
ps/ Si vous venez au non-vernissage ce dimanche 11, et me dites le code « Madagascar, Constantinople », je vous offrirai un café, sans le savoir.
Je me suis procuré le petit livre sur Vladivostok (celui sur Venise aussi) et je dois dire que de les voir regroupées dans un ensemble cohérent ça les mets bien en valeur.
Je te souhaite un Bon non-vernissage.
Madagascar, Constantinople !
Merci Boris !
Ce qui edt bien aussi, c’est le sentiment d’avoir accompli un objet et d’avoir l’esprit libre.