Hm… comment dire…
Beaucoup d’aspect du quotidien sont différents, comme la façon et le timing pour payer dans les cafés et les supermarchés, les voitures roulent à gauche, les piétons attendent le feu vert… Cette accumulation de petites choses fait que la zone consciente de ton cerveau doit prendre en charge une grosse charge de travail qui est normalement gérée par des automatismes.
Ça va aussi plus loin que ça toutefois. Ça entraîne un ébranlement plus profond. Une sensation de conscience de soi, de maladresse dans les gestes, d’inadaptation. Pas exactement agréable.
La barrière de la langue accentue la sensation d’isolement, aussi. Je pensais au livre (et au film surtout, car je n’ai pas lu le bouquin) d’Amélie Nothomb : Stupeur et tremblements, qui raconte la chute de quelqu’un qui s’interroge mais ne comprend pas ce qui lui arrive.
J’ai du mal à cerner cette idée. Je ne vois pas bien ce que ça implique.
Hm… comment dire…
Beaucoup d’aspect du quotidien sont différents, comme la façon et le timing pour payer dans les cafés et les supermarchés, les voitures roulent à gauche, les piétons attendent le feu vert… Cette accumulation de petites choses fait que la zone consciente de ton cerveau doit prendre en charge une grosse charge de travail qui est normalement gérée par des automatismes.
Ça va aussi plus loin que ça toutefois. Ça entraîne un ébranlement plus profond. Une sensation de conscience de soi, de maladresse dans les gestes, d’inadaptation. Pas exactement agréable.
La barrière de la langue accentue la sensation d’isolement, aussi. Je pensais au livre (et au film surtout, car je n’ai pas lu le bouquin) d’Amélie Nothomb : Stupeur et tremblements, qui raconte la chute de quelqu’un qui s’interroge mais ne comprend pas ce qui lui arrive.