Arnaud L. m’a emmené à la librairie Totodo, spécialisée dans les livres d’art et de photographie. Il n’y était pas venu depuis longtemps et ne l’a d’ailleurs reconnue qu’après y avoir passé (au moins) un quart d’heure et avoir cuisiné la charmante libraire sur les changements d’agencement.
Je ne l’avais pas remarqué, mais il m’a soutenu qu’elle avait une phalange de petit doigt coupée, dans le style « yakuza ». Hum… se non è vero, è ben trovato.
J’ai trouvé un (le ?) livre de Yamamoto Masao, dont je connaissais la plupart des photos par le web et Qwant images, mais pour lequel j’ai quand même cédé un montant significatif de kopecks japonais.
Salut Boyan,
Effectivement, je t’ai fait remarquer en sortant de la librairie qu’elle avait un « problème » aux mains mais
je pense que dans son cas il s’agit davantage d’un accident que d’un signe « d’appartenance » à la pègre locale…
Cette jeune femme avait plus qu’une phalange qui lui manquait, des doigts entiers…
c’est aussi pourquoi je m’étais étonné que tu ne l’avais pas vu
Et je me demande même si elle n’avait pas des « soucis » aux deux mains…
j’irai vérifier
😉
Salut Arnaud,
Ça laisse de la place pour imaginer des histoires comportant leur lot de rocambolesque…