Les russes ne sourient pas. Mais on en rencontre facilement d’amicaux, aimant bien bricoler des phrases avec leur anglais, même approximatif. C’est là que les applis de traduction ont du bon. Là on est à Kafema, mon « atelier » local, et ce sont des étudiants, en mécanique ou ingénierie navale. La vie tourne beaucoup autour de la mer à Vladivostok. Curieusement, je pense souvent à Brest (Finistère) ici. Une port militaire, un climat pluvieux, du béton gris, des marins en uniforme dans les rues de la ville, une architecture austère, l’extrémité orientale/occidentale d’un pays…