Un périple de cinq mois sur les terrasses de café du grand Est (aka Japon, Corée du Sud et Est de la Russie) s’est achevé le 21 juin : je suis de retour à Strasbourg. Curieusement, une trentaine de minutes m’auront suffi pour dissiper la sensation d’étrangeté et reprendre mes habitudes avec une facilité déconcertante. Bon.
J’ai amené à Labo 1000 à Schiltigheim quatre pellicules qui me restaient de Séoul et Vladivostok. Ce sont des pellicules dont j’ai « poussé » la sensibilité de 1 ou 2 diaphs. Je ne le savais pas, mais c’est une manipulation qu’il ne faut pas faire avec des négatifs couleurs, uniquement le noir & blanc ou les diapos. C’est une question de chimie du développement, etc.
Bonne nouvelle : j’ai finalement compris comment utiliser mon nouveau scan. J’ai commencé à numériser mes pellicules de Venise de novembre 2017 et j’ai une petite idée quant au livre que je vais en tirer. Le terme « livre » n’est d’ailleurs pas vraiment approprié, mais j’en dévoilerai plus ultérieurement.