Il m’arrive de double-exposer des pellicules parfois. Ce n’est jamais volontaire, ça découle d’un emmêlage de pinceaux au moment de changer la pellicule. Le résultat ne me plaît que rarement, voire jamais. À l’évidence, ce sont toujours des photos géniales qui sont gâchées. Parfois elles restent regardables.
ps/ Hé ben non, l’âne n’est pas là par le hasard de la double-exposition. Il était bien à la terrasse de ce café.