À quelques exceptions près, j’ai utilisé en 2022 de la pellicule périmée — avec des objectifs « cul de bouteille » à pleine ouverture (surtout l’Apoqualia 35mm). Les principaux problèmes que j’ai rencontrés sont des erreurs d’exposition : je sous-expose beaucoup en basse lumière.
Quelques photos, au rendu un peu pictorialiste, me plaisent dans le lot. Elles me renvoient à mon goût pour un monde onirique, auquel on parviendrait par des fissures poétiques dans la trame de la réalité.
Cette année je prendrai des photos nettes, comme Pentti Sammallhati. Comment fait-il pour que ses photos soient aussi nettes et poétiques à la fois ?