Reflux d’entropie
L’Arche avant l’Aiguille creuse
Vagues brisées à Étretat
Front de mer à Étretat
En rentrant de la Baie des Singes
Pot moderne
Soleil rouge
Saint-Pierre-le-Jeune
Personne
Pas par ici
Le Prisonnier
Drôle d’endroit pour une rencontre
Un bug dans le télémètre
Conciliabule
La salle des Archives
L’école allemande
« Bien qu’italien d’origine, il appartenait à une école d’alpinisme que l’on pourrait — grosso modo — appeler l’ « école allemande ». On pourrait ainsi résumer la méthode de cette école : on attaque la face la plus abrupte de la montagne par le couloir le plus pourri et le plus mitraillé par les chutes de pierres, et l’on monte vers le sommet tout droit, sans se permettre de chercher des détours plus commodes à gauche ou à droite; en général, on se fait tuer, mais, un jour ou l’autre, une cordée nationale arrive vivante à la cime. »
René Daumal, Le Mont Analogue, p.77
Métropolitain
Je n’ai pas vu les quais comme à travers une brume du temps
Construction d’une dimension supplémentaire
Jeu de stratégie
Lieu de travail
La photo est prise dans la cour d’usine où l’on travaillait aux décors de la célèbre série TV Astrid & Raphaëlle. C’était photogénique et après le passage des jardiniers, c’est devenu le parking du commissariat.
Promeneurs du soir
Je cherchais un cadrage pour le canal, la rangée de lampadaires, le ciel, etc. J’avais prévu d’intégrer les deux passants à peu près à cet endroit, mais le geste fait dans le rythme rend la photo intéressante.
La pellicule était périmée depuis une dizaine d’années, donc elle perd à la louche la moitié de sa sensibilité. En l’exposant à 160 ISO, on obtient, disons, des images. Prêtes à être retouchées.
Véronique de Viguerie
Dans le cadre des Rendez-vous Image de Strasbourg, j’ai assisté samedi à une rencontre, en petit groupe de six personnes, avec la photographe de grand reportage Véronique de Viguerie.
Elle a décrit son métier par des images accompagnées d’anecdotes exotiques sur son quotidien, ses embûches et ses récompenses, ses détresses et ses joies.
Nous avons complété la présentation de son travail le matin par une lecture commune de nos portfolios au début d’après-midi. Des travaux visuellement assez différents les uns des autres, comme on pouvait s’y attendre, mais radicalement différents par les intentions aussi. Ça, c’était peut-être surprenant — pour moi en tout cas.
Le stage s’est conclu par une visite de l’expo des Rendez-vous Image, au Palais des Congrès.
Dans l’ensemble cette journée s’est avérée fertile, marquée par des découvertes et une réflexion sur notre propre parcours.
Déjeuner, pain, en-cas
Goëmon colossal
