Les souvenirs nocturnes ont quelque chose de triste. Cela n’a pas forcément à voir avec les blessures du cœur : le soulagement apporté par la lumière et la crainte provoquée par l’obscurité sont une malédiction qui a toujours existé et qui est intrinsèque à l’homme.
Daido Moriyama / Mémoires d’un chien p. 49